| SIMON WIESENTHAL CENTRE - EUROPE Phnom Penh, Cambodia, 25 June 2013 "Could all this result in Palestine-fatigue? Not likely.
Muhammad’s winged steed who flew him from Mecca to Jerusalem. He tethered his mount at a wall that carries its name, while he made his night visit to heaven. That Buraq Wall is todayknown as the Western Wall (the Kotel), Judaism's holiest shrine. The Centre is also concerned at the Museum of Palestinian Heritage in construction in Ramallah ("to be transferred to Jerusalem assoon as possible".) This is vaunted as a hi-tech facility with global outreach and is described as a "safe place for unsafe ideas", pointing to yet another arm in the arsenal ofdeJudaization of Jewish heritage - a patent identity theft of the Jewish narrative. We will continue to monitor the situationas it develops," concluded Samuels CENTRE SIMON-WIESENTHAL – EUROPE Tél. : +33-01 47 23 76 37 – Fax : +33-01 47 20 84 01 Courriel : csweurope@gmail.com La Palestine détourne la session du Patrimoine mondial de l’Unesco – une nouvelle campagne arabe contre Jérusalem. Phnom Penh, Cambodge, le 25 juin 2013 Le Centre Simon-Wiesenthal – l’unique organisme juif accrédité au Comité du patrimoine mondial de l’Unesco – a déploré lamanipulation dont a été victime cette organisation qui a pour but de protéger et de préserver les sites culturels et naturels : une nouvelle opération coup de poing y a été menéecontre Israël. << Depuis que la Palestine a été acceptée en tant qu’Etat membrede l’Unesco, pour paraphraser le stratège militaire Von Clausewitz, le patrimoine est devenu un autre moyen de faire la guerre », a observé Shimon Samuels,directeur des Relations internationales du Centre Simon-Wiesenthal et son délégué en chef à la conférence. « Prenez le cas complexe et sensible de Jérusalem, administrée depuis de longues années par ses deux gardiens d’avant 1967, Israël et la Jordanie. Même s’il y a parfois eu des tensions ou des orages, ils ont toujours su résoudre ses problèmes à court terme – en les ajournant, en les reportant, en les examinant, en faisant appel à des professionnels ouà un consensus, etc. Ainsi, en avril dernier, Israël a conclu un accord, négocié par les Américains et les Russes : l’Etat hébreu a accepté quel’Unesco envoie, fin mai, une mission exploratoire à Jérusalem, en échange de quoi les Arabess’engageaient à différer tout autre problème ; parmi eux l’inscription au Patrimoine mondial de Battir en tantem que patrimoinepalestinien (le site de Beitar, ou le dirigeant juif, Bar Kochba a commencé son combat contre le joug romain au IIe siècle) Au derniermoment, les Palestiniens ont changé la donne en ajoutant deux politiciens, le ministre du gouvernement Abbas en charge deJérusalem et un conseiller politique, présentés, en toute mauvaise foi, comme des professionnels, l’un architecte, l’autre archéologue. Israël a demandé le report de cette mission, arguant d’une déformation de laréalité. La Jordanie, mandatée par le groupe arabe et sollicitée par la Palestine, a alors préparé une résolution officielle, mettant en cause une pléthore de développements israéliens dans la ville, depuis un centre touristique jusqu’au tramway, en passant par un ascenseur jouxtant lemur des Lamentations ou des accusations infondées d’excavations "qui endommageraient" la mosquée du mont du Temple située au-dessus, tout cela au nom de "l’intégrité et de l’authenticité" », a indiqué leCentre. M. Samuels a signalé que « ces bonnes paroles ont sérieusement importuné le Cambodge, hôte de cette session annuelle. Ce pays a en effet fourni des effortsconsidérables pour faire de ce rassemblement un tremplin pour attirer les touristes, mettant l’accent sur un sitepatrimonial L’année dernière, à Saint-Pétersbourg (Russie), la Palestine avait présenté une « liste indicative » de sites révélant un appétit féroce : Le Centre s’inquiète en outre du musée du Patrimoine palestinien, en construction à Ramallah (selon son site web « qui doit être transféré |

